Bloguer ou ne pas bloguer

Olivier on peut mettre autant de java, d´images, d’applications flash que l’on veut et rester valide XHTML. Les codes sont différents c’est tout. Patrick de Argentine au jour le jour dans son Commentaire à mon article du 19. Pour les nouveaux lecteurs : les mots ou phrases soulignés indique des sites ou blogs figurant dans mes Liens amis.

Bon sang, je ne pensais pas relancer la polémique ici, sur un blog. Corriges-moi, Patrick, si j’interprète mal ce que tu dis, mais : il y aurait deux HTML ; un lisible par Microsoft et l’autre par Netscape. La petite guerre des monopoles. Que viennent faire les handicapés la-dedans ? Il ne servent que d’alibis alors ? Je sens que certains, aux HUB, vont m’assassiner ; tant pis, j’aime que les choses soient limpides et ne se cachent pas derrières des faux semblants. On fait du Libre (+ Open source), du presque gratuit, du propre ; mais, en fait, on a le même objectif que l’ennemie : gagner, du fric, de la gloire ; je ne sais pas. Mais être le maître du web.

Il est tard, je me permets de jouer les marseillais qui exagère et de faire du non-sens [Je te montre une boussole. Est-ce que le non-sens est censé avoir un sens ? Sans doute pas !] Pourquoi les codes doivent-ils être différents ? J’aime pas les sectaires ni les séparatistes. Et vlan : je viens de me faire des amis ici et là ! Des codes ; on dirait une histoire franchouillarde de clocher. Qui a dit que l’informatique et l’internet étaient dominés par les américains ? Il a un esprit bien français, l’américain en question.

Oui, je dis n’importe quoi, j’ai envie ; ça me regarde ! Ceci étant déclaré : prouvez-moi qu’il n’y a aucune once de vérité dans ce que j’avance. Allez : vive les normes ! Moi, il me suffit d’être lisible pour ceux étant prêts à faire un minimum d’efforts, toutefois (quand même).

En effet, ce soir, j’ai un petit côté Marvin ; le robot dépressif de H2G2 – déjà plusieurs liens dans le billet Un requin, des crocodiles du 11.08 – dont je viens de voir les aventures au cinéma. Et, réellement, le cinéma, ici, me déprime : on ne sait pas respecter une queue, on laisse son portable allumé, on croque fort ses friandises, la publicité ne peut être zappée et les bandes annonces ne font plus envie. Bon, je vous laisse et me tire, me casse vers le Dernier Restaurant avant la fin du Monde (fiche, carte, menu) !