Conspiration et vadrouille

Non aux lobbys : Bon, je vais arriver à revenir aux séries de l’été du Monde ? Nous en étions à 1968. Mais d’abord, un sérieux coup de griffe à mon quotidien préféré.

L’épisode 6 de sa série Aventures du faux est titré Roswell, l’impossible rumeur. La veille, le journal parlait du faux ludique (sic) de Welles ; et très bien. Mais là, rien sur Roswell. Il est question de photos truquées, de Georges Méliès, de Timisaora, le tout pour arriver – sous le titre vendeur de Roswell – à une imposture dont certains veulent que l’on parle au-moins une fois l’an. Une histoire de protocole ; moi je ne connais que ceux-ci et celui-là.

Grand amateur de la notion de Conspiration, en terme de séries TV, je vais me permettre de remettre les choses à niveau en vous ouvrant quelques portes sur le sujet non traité par le Monde ; Roswell (vo1, vo2, vf1, vf2, version ados, par radio Canada – le clipest à regarder et écouter).

1968 : fini les bas, place aux collants (DIM pour la machine à souvenirs). L’année est copieuse, forcément riche ; alors : Wikipédia ! En été, sur les cinq jours retenus par le Monde, j’en choisirais deux : le 25 juillet, avec la sortie du chef d’oeuvre que je verrais en Drive-In deux ans plus tard, et cette nouvelle que j’apprenais aux Praz de Chamonix ; l’invasion des chars soviétiques écrasant le Printemps de Prague.

Et, au niveau Tube, qu’elle est la chanson retenue ? Celle qui inspirera d’autres succès. Le Comme d’habitude de Claude François qui se déclinera rapidement en My Way avec Paul Anka ; puis viendrons les versions de Frank Sinatra, d’Elvis Presley, Nina Simone.

Je suis à Grenoble, un de ceux qui occupent le Conservatoire de Musique ; celui d’Art-Dramatique n’est qu’une petite annexe excentrée mais avec un bon maître : André Despres. Les Beaux-Arts sont avec nous ; donc, chères Oumie et Diane, Clotilde n’est pas loin ! …

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