Me cabrerais-je ?

Pour ce qui est de donner du temps au temps – mais ce n’était peut-être pas le sens de mon titre d’hier -, ce dimanche, je repasserai ; et sans fer, ça ne va pas simplifier non plus. Comment ça, je vous embrouille ? Oserais-je, seulement ?

Toujours est-il que … mais honneur aux pages extérieures. Commençons par elle(s) avant que de revenir à nos malheurs de ce jour. C’était hier :

Patrick nous entraîne, avec cet article, sur un terrain que je n’oserais abordé (tu parles) ; je n’étais pas au courant d’une telle chose, voilà tout. Lisez son article précédent sur le sujet. C’est qui cette personne ? Je ne veux même pas le savoir …

Alors, donc, que m’arrive-t-il ? Je pense préparer un article, le publier – quoi que je n’avais pas trop d’idées réellement arrêtées tout de même -, et, épluchant mes courriers électroniques, voici que je tombe sur, disons, un avis. Je lis, je réponds – je fais ça en général, pas vous ? – et décide que je ne puis en rester là. Je me vois obligé de construire, en vitesse, une petite page à l’humour involontaire. Quoi que ! C’est : Papy Logo se cabre !

Bon, je ne vous quitterais pas, ce soir, sans vous confirmer que l’article d’hier avait une raison, un but, un projet (comme on dit actuellement) … Lequel ; lesquels ? J’y reviendrais peut-être. Je voudrais juste signaler que le billet n’était absolument pas gratuit et, en fait, entrait dans les propos définis de ce blog.

Mais, et : justement. Disons que c’est le week-end et qu’il faut donner du temps au temps. Je sais, je suis très récursif comme bonhomme ; doublement pour les habitués (si il y en a) … tout sourire

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