Revue de blog : Je relève ce passage du Commentaire de Gaëlle dans mon billet d’hier : Mais une chose quand même m’échappe, ici au Monde, pour le blog nous avons tous le même service, alors pourquoi nous n’arrivons pas tous à mettre notre Post-it au même endroit ? La question est excellente ! Je pourrais lui demander : as-tu suivi mon mode d’emploi comme j’avais suivi le tien ? Personnellement, je laisse volontiers la réponse à Damien de Post-It Express qui est un utilisateur, sans intermédiaire (le Monde) de TypePad.
Pardon d’ainsi démissionner, Gaëlle, mais je préfère sortir par une boutade qui n’est pas de moi (salutation JLB à Bordeaux qui ne lira pas ceci) : l’informatique n’est pas une technologie exacte, et terminons par ton propre clin d’oeil : Sinon, je ne serais pas à Montcuq le 18 août. Si je comprends bien, tu n’es pas plus sinistrable – pardon -, ministrable que moi ! Pour suivre, il faut avoir suivi les liens que je donnais hier sur le sujet … 
J’adore les censeurs et, surtout ; les contrarier. Alors, je ne comprends pas tout, mais, faisons un petit tour en Argentine où nous est offert un duo entre Mercedes Sosa et Atahualpa Yupanqui.
Jean-Louis, lui, nous parle Cabane avec, parmi ses illustration, une construction dont je fournis quelques autres exemplaires de différents endroits à cette page.
C’est au tour de Tivigirl de partir quelques jours en vacances ; il faudrait que je me décide, moi … Ou : suis-je trop intoxiqué par le bloguinage ® © ? 
Tizel est parti depuis le 2 ; sans rien dire …
Une disparition : celle de Gérard Weidenfeld qui était professeur à l’université de Poitiers, mais que j’avais connu dans le Hall du CMIRH avant qu’avec l’autre Gérard, il ne monte dans les étages rejoindre les divers laboratoires. Weidenfeld est juste mentionné dans la présentation d’Henri de Feraudy de mes pages consacrées au Centre mondial où ne figurent que des noms étant éléments de réponse à une recherche sur l’organisme. Ainsi, à ma connaissance, Gérard Weidenfeld est le second, après Alberto Matute, à avoir tiré sa révérence. Au-revoir.
1963 fin : La Chalpe, disais-je ; les vacances auxquelles je pensais étaient hivernales et non estivales ; donc, je frisais le hors sujet. Mais, ainsi que je le dis, je n’ai guère de repères. Un an avant, je crois que j’étais à Lyon ; pour ma scolarité. Alors, 63, comme vacances d’été, c’était Saint Jean du Gard puis Chamonix, ou bien, encore Cannes ? Peu importe, tournons la page en ne laissant, tout de même pas McQueen seul représenter cette année là et ayons un regard pour Thierry la Fronde avec Jean-Claude Drouot.
no comment untill now