Une Larme au Pénitencier, Pourquoi ?

Bis repetita placent : ma petite série de l’été part de celles publiées par le Monde ; je ne prétends pas traiter, de manière exhaustive, les sujets abordés qui ne seront que des prétextes à surfer sur le Web. Cependant, lorsque cela sera possible un lien plus généraliste vous permettra d’aller plus loin.

1964 : Dix ans auparavant, je me souviens du verre de lait à la récréation ; cette initiative, instaurée par Pierre Mendès-France, a-t-elle durée plus d’une saison scolaire ?

Eté 64, le 2 juillet, Lyndon B. Johnson signe la loi sur les droits civiques des Noirs (ici). Le 6, c’est la première, à Londres, du film de Richard Lester ; le premier des Beatles, A Hard Day’s Night (Quatre garçons dans le vent), et, le 14, Jacques Anquetil remporte son cinquième Tour de France.

Johnny Hallyday, lui, depuis le mois de mai, fait son service militaire {pour illustrer mes articles, je saute sur le premier site n’ayant rien à vendre, sans fenêtres indésirables et autres parasites publicitaires quand ce n’est pas pire}. Ce sera l’année du Pénitencier, version française de The House of the Rising Sun de The Animals (and), avec ce superbe solo de Alan Price à l’orgue ; quel slow ! Sur le site de l’Académie d’Orléans, vous avez bien lu que cette chanson a été d’abord créée par Bob Dylan, repris par Joan Baez et , vous voyez que la version (paroles) est tout à fait différente. C’est à Hugues Aufray que l’on doit l’adaptation.

Quel slow ; le premier, c’est tout de même Sag Warum par Camillo à découvrir chez le Concombre. Enfin, je crois … Una lacrima sul viso de Bobby Solo n’était pas mal non plus (un peu rapide ?) !

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