Viviane à Vivienne

Par BlogObs qui place Cécile, Christine et abeilles en discussion sur L’Appel républicain de Marianne, je vois que je suis en compagnie de JLH et son plus ancien Tir à vue ? Evidement que la défense de la laïcité républicaine prime sur les dérives monarchistes du mari de Carla ; mais : égratigner le bonhomme fait toujours plaisir, non ?! …

Plus de données personnelles à conserver pour les acteurs du net et de la téléphonie ; le flicage continue …

Découvrez les mirages de l’espace.

Un cyberscandale déferle sur la Chine ; la presse française débarque au sujet des clichés érotiques de vedettes hongkongaises fourmillant sur la toile.

Pudibonderie flamande ; sur une exposition érotique – la Féminathèque phénoménale de Louis-Paul Boon – censurée (lemonde, lalibre, deredactie).

Il est venu placer un petit mot en ces pages et blog en images et poèmes : Gondolfo Traveller Poet ; l’écriture est un peu petite pour des yeux de plus de 20 ans …

RSS- Lesen in der SRS (Selbst- Referenz- Spirale) ; quelques propositions autour des initiales RSS … Vous avez des propositions en français ?! … Je ne sais pas moi, comme Rire Sardonique et Satanique ; Rien Sur (le) Siam

La parole qui rit ; autour/avec (de) Nasr Eddin Hodja et Jean Kergrist sur Mythes fondateurs.

Que faire avec mes blancs d’oeufs ? Les congolais de mon enfance ; le coin recette.

Mémoire musicale ; comme tu le dis ailleurs, on pouvait t’attendre aussi sur d’autres sujets, mais : ce n’était pas indispensable …

Carnet de semaine invisible ; je craque surtout pour la photo finale et sa présentation ! …

Smog du matin, chagrin. Ces matins aux couleurs de givre. Le canal St Martin et La Galerie Vivienne ; deux lieux que j’ai un peu connus …

SMC2 – ter ; la solution en vidéo, s’il-vous-plaît !

Je prends du retard, là ; mais il faut, aussi, savoir se maîtriser … A demain ! … See you, fée Viviane ! …

Trackback

7 comments untill now

  1. Olivier, vous surfez avec Firefox ? Si oui, essayez de maintenir le bouton ctrl gauche enfoncé et d’utiliser la molette de la souris.
    Sinon, il y a toujours affichage – taille du texte, mais la première manoeuvre est plus facile.

  2. LES FEES

    Le nom fée vient du mot latin fata qui se disait originairement pour Parque (fatum signifiant destin). Les fées du moyen-âge appartiennent à un genre de divinités secondaires païennes qui ont survécu au paganisme et que le peuple a mêlées aux croyances du christianisme. On y rencontre à la fois des survivances de la mythologie latine, celtique et germanique. Au fatum des Romains, qui s’était morcelé en un grand nombre de personnes divines, Tria Fata, les trois Moires ou Parques des Grecs, qu’on retrouve au IVème siècle dans Ausone et au VIème siècle dans Procope, ont emprunté l’influence qu’elles avaient sur la destinée de l’homme et les dons bons ou mauvais qu’elles lui imposaient dès le berceau. Aux matres ou matronae, divinités qui apparaissent si souvent dans les inscriptions gallo-romaines, elles doivent le caractère, généralement bienveillant pour les hommes, qu’elles ont au moins chez les populations qui ont été longtemps en contact avec les Romains. Elles devinrent dures et méchantes lorsqu’elles s’allièrent aux n’ornes, ces lugubres parentes des Parques, chez les peuples germaniques et scandinaves, qui importèrent tout un panthéon de nains : trolls, gnomes, kobolds et aussi d’elfes, nixes, ondines, pixies, etc.

    Les gaulois eurent les saynettes qui habitaient l’île de Sayne, sur la côte des Osismiens, auxquelles on attribuait le pouvoir d’exciter les tempêtes et de guérir les maladies ; on les connut en Ecosse et en Irlande sous le nom de fairies, de water-elven ou de daonie-see ; en Angleterre, on les appelera Klabbers ou tylwith teg ; en Allemagne, alfen, kobold ou stille-volk ; les Arabes et les Persans avaient des fées nommées féris, dives et djinors. En Flandre, on connut les withe-wroukin (dames blanches), fées malfaisantes qui épiaient les voyageurs pour les entraîner dans leurs demeures souterraines ; en Danemark, les fées sont les nokka, musiciennes nocturnes des forêts et des eaux ; en Russie, les duegar. Il faut remarquer que ces produits de l’imagination humaine sont malins et méchants dans tous les pays où la nature est avare de ses dons : pays froid, de montagnes, de nuages, comme la Scandinavie, l’Irlande, l’Ecosse ; au contraire, ils sont doux et bienfaisants dans les pays méridionaux, où la nature est riante et la vie relativement facile.

    Les littérateurs prolongèrent le règne des fées en les introduisant dans leurs récits. Au moyen âge, dans les romans d’Arthur et de la Table ronde, de Charlemagne et de ses paladins, d’Ogier le Danois, Viviane, Morgane, Mélusine, sont appréciées des poètes. Quelques grandes familles adoptèrent certaines d’entre elles comme protectrices. En se rapprochant des hommes, elles en ont pris les passions, et il n’était pas rare qu’elles s’éprissent d’un beau chevalier, voire d’un simple manant. La renaissance n’eut garde de les mettre en oubli ; elles revivent dans le Roland amoureux, de Boiardo, dans le Roland furieux, de l’Arioste, dans la Reine des fées, de Spencer, dans le Songe d’une nuit d’été, de Shakespeare, dans la Jérusalem délivrée, de Tasse, etc. En France, les fées n’ont jamais été délaissées ; elles apparaissent, jusqu’au grand siècle, pimpantes, piquantes, réalisant des prodiges d’un coup de leur baguette magique, parées à la française dans les Contes de Perrault.

    En musique, le mot fée a servi de titre à de nombreux opéras ou opérettes. Parmi les meilleurs oeuvres, nous citerons la Fée Urgèle, opéra-comique en quatre actes, paroles deFavart, musique de D’uni, représentée à la Comédie-Italienne, le 4 décembre 1765 ; la Fée aux roses, opéra-comique en trois actes, paroles de Scribe et de saint-Georges, musique d’Halévy, représenté à l’Opéra-Comique le 1er octobre 1849 ; la fée Carabosse, opéra-comique en trois actes, paroles de Cogniard, musique de V. Massé, représenté au Théâtre-Lyrique, le 28 février 1859 ; les Fées, opéra, paroles et musique de Richard Wagner, représenté après la mort de l’auteur, le 29 juin 1888, sur le Théâtre Royal de Munich ; la fée aux chèvres, opérette féerique en trois actes et quatre tableaux, paroles de Paul Ferrier et Albert Vanloo, musique de Louis Varney, représenté à la Gaîté, le 18 décembre 1890.

    En psychologie, les contes de fées sont les archétypes de notre inconscient collectif. Les mythes appris dès la prime enfance nous hante durant l’âge adulte avec quelquefois des résultats surprenants. Il y a en chacun de nous un personnage de conte de fées. Le connaître aide à rendre le quotidien bien moins banal.

    Commentaire “BIS” explication…je ne connaissais pas la fée VIVIANE !
    D’où ma recherche banale sur les fées.

    …….pour Cécile…… je vois que je ne suis plus là…j’avoue que c’était à côté du sujet !

    Merci Olivier , mais aujourd’hui svp : conserver les fées .

  3. Merci à Olivier de faire référence à la parole qui rit !

  4. RSS = Rire Sardonique & Satanique = Raffinement Super- Satirique !

  5. Anna, formidable le zoom Firefox ! Merci ;)

    Mais oui, Michèle : je conserve, même si ton comm est + un billet ;) Je regroupe, c’est tout :) En effet, j’avais supprimé un truc que j’ai + l’habitude de recevoir par mail et qui était hors sujet. Tu vas te régaler avec Mythes fondateurs toi ? …

    C’est si rare, Etienne, les paroles qui rient …

    Christiane : je fais ce que je peux ;):) A + !

  6. mine de liens merci :)

  7. Bonjour Gondolfo et merci d’être passé !

    En fait, mon propos et de lier des billets de blogs rencontrés au fil des années et d’en découvrir d’autres avec certains outils mis à disposition de la blogosphère. Enfin, avoir le sens de la communication ne gâche rien ;)

Add your comment now