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Compenser :

Le silence des SEO compensé par ces quelques liens :

YoolinkFriensfeedDeliciousGoogle+Twitter.

Allez comprendre : lorsque je passe un coup de balais avec Ccleaner, et alors que je n’utilise plus le navigateur de Microsoft depuis 1 an ou 2, j’ai toujours une vingtaine de fichiers MIE déclarés effacés ; je ne relève pas leurs poids… Confirmation : Microsoft et Windows sont des merdes marchandes

Disparition : le 8 août dernier nous quittait Karen BlackLes EnvahisseursEasy Rider et tant d’autres…

Birmanie : de 1925 à 1927, George Orwell vivait à Kathasa maison.

Sujets estivaux : La guerre est déclarée aux bandes de voleurs de cheveuxIls coupent les cheveux en quatre ? – Sex Ed, 1964.

Cinéma années 50 : Crin-blanc, film d’Albert Lamorisse, 1953.

Douceurs : Romance estivale.

Multimédia : Sans but ; le lecteur, si c’est un lecteur, ne fonctionne pas ; on a le plaisir du texte. Le reste, ce sont les mystère de cette technologie peut fiable dont je parlais ailleurs…

Balades : AdmirationPluie d’étéLes couleurs du matinPatchwork in progress ; des endroits connus voici des années… Terrasse le Paradis.

Sketch : L’artiste / Raymond Devos.

Histoire en images : Get Lucky.

Ce n’est donc pas un ordre, mais une constatation : Passé… votre chemin.

Chanteuse : Anne Murray \ Snowbird.

Musique : The Deep \ When rain is black. Ce que Google semble ignorer : The Deep was a short-lived American rock and roll band formed in Philadelphia, Pennsylvania, during the mid-1960s. Their style of rock and roll can be characterized as protopunk at times, while at others, their music delves into more psychedelic sounds. In fact, their biggest claim to fame is probably that the title of their sole album, The Psychedelic Moods of The Deep, is most likely the first time the word « psychedelic » was used in an album titlema source.

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5 comments untill now

  1. Je ne savais pas pour Orwell : bonne lecture.
    Idem pour les ballades
    Multimédia : full d’accord
    Bonne soirée

  2. Bonjour Olivier
     
    Quel beau souvenir de réentendre Raymond Devos. Il a, lui l’artiste, su tenir sur les planches qu’il n’a jamais quittées.
     
    Pierre R

  3. Bonjour Olivier, c’est complètement ahurissant « les voleurs de cheveux ». Merci pour les autres liens de ta Revue toujours bien plaisants. Bon vendredi ;-)

  4. [...] Voir venir [...]

  5. Olivier-M Schmidt-Chevalier @ 2013-08-16 18:09

    Je ne savais pas non plus, Denis ; en plus, il était flic, là bas…

    Oui, Pierre : Devos = un grand !

    A se demander, Denise, si c’est une info estivale ou si c’est réel… A une époque, c’était pour les poupées ; mais, maintenant ?… Bonne soirée !

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