Bloguer ou ne pas bloguer

Entre 1976 et 1981, Michel Schmidt-Chevalier effectuait son retour au Salon des Indépendants, au Grand Palais. Il semblerait qu’il ait seulement exposé quelques fois, mais, plus indépendant que les Indépendants, il ne figure pas dans la liste des Sociétaires. Je n’y trouve pas Jean Leppien (à 1980) non plus ; mais, justement, Leppien n’avait-il pas entraîné MSC vers une autre exposition, un autre lieux ?

J’ai parlé, ici et là, de réunions, de fêtes de blogs et blogueurs-blogueuses. Paris s’y est mis depuis 2 ou 3 ans et remet le couvert en septembre avec cette question fondamentale : Paris blogue-t-il ? Un élément de réponse sur Paname Ensemble.

Restons dans l’esprit fête avec une petite salsa mis en ligne sur Argentine au jour le jour. Au fait, Patrick, sur l’évêque ou sultan (je ne sais pas différencier les costumes) ; vous savez, moi, même sans Tourtes, je préfère les Macaronis …

Le blog devenu polyphonique, avec ce billet, se rapproche de Cahors ; j’espère qu’il feront un petit détours par Cours. A Vers, prendre la route qui monte, à droite de la D 653 ; enfin, si vous venez de Saint Géry …

Un autre agréable moment : les gentils commentaire de Jean-Marc et ce billet dans Clavardage ; pour un grand éclat de rire !

Hélas, j’ai de plus en plus l’impression que, si on ne laisse pas de commentaires sur un blog, la personne que l’on cite, mentionne au sein d’un billet n’en saura jamais rien. Sauf en passant par la syndication (syndiquassion ?), peut-être. J’ai une habitude d’ancien du web avec ses pages personnelles, ses sites, ses domaines, ses portails ; savoir qui vous visite, qui vous lie (referer), quel moteur, quels mots clés me rapporte des visiteurs. Souvenez-vous, c’est un jeu que Tizel et moi apprécions ; une habitude de webmestres soucieux de référencement.

Hier, je disais un mot sur les organisateurs de la fête blogueuse du 31.08 ; n’ayant laissé aucun commentaire chez aucun d’eux, je n’ai aucune réaction à mes liens vers eux dans deux billets différent et sur deux jours. Et, tenez, depuis tous mes articles, j’ai eu un seul webmestre inconnu ayant souligné le lien que j’avais, en illustration, placé vers lui. Un seul. Je ne parle pas des échanges entre webmestres et auteurs de blogs rencontrés au fil du temps et avec qui j’ai noué des liens que je nomme permanents (Liens amis). Mais, justement, ceux-là sont des personnes ne se contentant pas de syndication, de commentaires laissés chez eux et, regardant parfois leurs statistiques, savent avoir la curiosité, la politesse, la gentillesse de contacter ceux qui les ont liés, référés, cités, mentionnés.

Je reconnais que ce n’est pas toujours évident. Qui plus est, même pour mes sites, je regarde moins qu’avant mes statistiques ; alors, pour les blogs …

Donc, oui, la solution, afin de mieux échanger, passerait bien par les commentaires et il semblerait qu’un blog n’en attirant pas pourrait être condamné. Jean-Marc en parlait dans un article que je citais en son temps mais que je ne rechercherais pas, là, maintenant. Sentez-vous libre de nous rafraîchir la mémoire, JMB, avec l’URL idoine. Merci !

J’aimerais, tout de même pouvoir continuer à croire que ce qui fait les visiteurs, c’est d’abord le contenu ; comme sur les sites. Seulement voilà, la forme, avec ce média, n’est pas forcément au service du fond. Tout simplement car ce n’est pas l’esprit de la chose. Un blog était d’abord un journal intime et le visiteur à la recherche d’un renseignement ne va pas forcément lire la littérature englobant la réponse qu’il recherchait, même si le moteur qu’il a utilisé lui a fourni tel blog en bonne place, qui plus est ; dans les 10 premières réponses.

Déjà que webmasteriser, ce n’est pas simple, il semblerait que l’art de ne point être ignoré, dans la blogosphère, n’est pas un long fleuve tranquille. Et du coup, une de ces petites boucles que j’affectionne : après les Macaronis, on a beau être lundi ; ce n’est pas Raviolis.