Après LA, Frisco

Cette fois, je commence par le cinquième épisode d’une autre série du Monde : Les aventures du faux. Avec le Maître. C’est à 23 ans qu’il réalise sa splendide mystification radiophonique avec sa troupe du Mercury Theatre ; étant obligé de trier les liens que je place ici, je me vois obligé de cesser le suspens. Je parle bien sûre de monsieur Orson Welles. Mais, ce 30 octobre 1938, sa Guerre des mondes est une farce, une blague ; pas un faux. Orson adapte juste à sa manière l’autre Wells (sans e) ; H.G. dont le célèbre roman, écrit en 1898, sera d’abord porté à l’écran par Byron Haskin en 1953 et, cette année, par Steven Spielberg.

Je ne puis quitter Orson Welles sans mentionner son Citizen Kane, ne serait-ce que pour évoquer le château de William Randolph Hearst près de San Simeon (vo, vf) ; mais là, encore une fois, j’anticipe de quelques années.

1967 : une année bien riche en événements ; je lis peut-être trop rapidement, mais je ne vois pas, sur ses 2 pages, l’Internaute parler de l’invention de la Carte Bleue ; celle sans puce ; elle grattait donc moins. mort de rireIl y avait déjà des satellites (images) puisque l’un d’eux allait permettre à la BBC de diffuser, en Mondovision, le spectacle Our World, le 25 juin. Spectacle durant lequel on pouvait, entre autres, apprendre les mots Amour, Liebe, Lioubov (le Monde n’en donne pas plus …) et, bien entendu, Love ; All you need is love et les Beatles. Ici, c’est encore meilleur ; certains vont n’en plus sortir …

C’est l’année de Blow Up (Palme d’Or), du Lauréat. C’est surtout, aux USA, l’apparition des Hippies et leur sanctuaire, Haight Ashbury (avec celui-ci, promenez votre souris de droite à gauche ou réciproquement, et, il y a le reste …)

Que les colonels grecques paraissent ridicules. Ils le sont, mais, hélas, ils sont aussi bien réels et dangereux et autrement que ce cher Rastapopoulos.

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