Bloguer ou ne pas bloguer

Suite de la vigilance du Monde ? Je ne pense pas, cette fois et crois plus à un progrès chez TypePad face aux attaques de spams dans les commentaires (mes trackbacks sont fermés depuis les invasions barbares de l’an passé). Une tentative sur six billets différents, échelonnés sur différentes dates. Un seul de ces pollueur est passé sur les six ; bravo TypePad ! C’était le même gus, partant d’une adresse Gmail et pas Hotmail – ça change un peu -, qui tentait d’infiltrer son url – là, il a réussit sur un coup, quelques heures -, adresse d’un site vide. La connerie du marchandising à tout prix.

Pardon pour le gros mot, particulièrement sous ce titre de billet. Mais, justement, j’entends nommer les choses par leurs noms (chose = chose comme chat = chat). J’entre dans une période ou contenu et revue vont être moins lénifiants. Je commence par l’international. Un commando israélien a kidnappé des prisonniers gardés par des anglais et des américains. Ces prisonniers avaient assassiné un leader d’extrême-droite israélien ; un faucon, quoi, du genre : pas question d’un état palestinien mitoyen à celui d’Israël. Là où j’interviens c’est lorsque, au journal de 13 heures, France Inter interroge certainement une personne de haut niveau sur l’information, celle-ci se permet de raccrocher au nez du journaliste. Ce genre de suffisance n’enjolive pas, n’aide pas l’image d’Israël. Fin du message ; vais-je être spamé par des on ne touche pas etc ?…

Chez nous. Dans le dernier paragraphe de Quel Villar, je laissais tomber un laconique Je suis contre (le CPE). C’est un peu court, voire même, très court. Alors deux mots sur CNE et CPE. Je n’aime pas les décisions unilatérales, donc non démocratiques. Pour le CPE au-moins, il y a eut 49,3 (Wikipedia) et pas de consultations avec les syndicats. Ce que certains peuvent ne pas voir, c’est que ce gouvernement, marionnette du MEDEF, veut la peau du Code du Travail (CdT, JuriTravail, LexInter, InfoTravail), du Conseil des Prud’hommes (DroitPratique, cyberavocat), voire, des syndicats employés-ouvriers (salariés). La précarité de personnes (esclaves) corvéables à merci qui, au-moins comme ça, ne manifesteront pas et s’allongeront, fourbus, devant TF1 ; ce qui les rendra encore plus accessibles aux buts avoués de cette chaîne : abrutir pour bien préparer les plages publicitaires en les rendant efficaces (Standblog, DossiersduNet) . C’est à dire : que la masse populaire achète, consomme et se taise. J’entendais que les CNE et CPE avaient inspirés certains propriétaires qui verraient d’un bon oeil les locations à l’essais. Je n’ai aucune tolérance face à de telle idées ; monstruosités de nantis.

Je pensais avoir déjà lié cette page à la Cité des sciences où Mona Lisa subit quelques outrages, mais je ne retrouve pas le billet ; alors, faisons comme le Monde, découvrons pour aller au-delà avec d’autres transformations de la belle que vous pouvez accomplir chez Apothia.

Gordon Parks, photographe et cinéaste afro-américain a quitté appareils et caméras le 7 mars. En effet, je le connais plus par Shaft (1971) que par d’autres de ses oeuvres (LH Axe Library, SH Foster).

Rien de bien politique dans le dernier billet en date de Dounâouy, mais ce n’est pas de la simple franche rigolade non plus ; il poursuit ses notes algébriques et autres. Et Voltaire, c’est politique ? Si vous ne l’avez pas fait hier, allez lire le billet de Richard sur l’homme de Ferney (le collège, une fondation). Bon, je craque et sors de l’ambiance annoncée ; c’est la faute à ton oeil, Tizel ! … Du coup, je suis en droit de lier cette photo de sentier d’Adjaya ; le sentier, le chemin, la route, la voie ; il n’est pas de sens engagé de ces mots ? Avec notre Daniel, le Lapon, on est presque toujours certains de se trouver face à un article flirtant avec la polémique ; on en retient ce que l’on veut et peut. Boucle sur le premier paragraphe : Evret pense échapper aux spams en quittant Hotmail (certes) et en entrant chez Gmail ; petite discussion triangulaire avec, aussi, Tizel … Une affaire qui était à suivre chez Gavilan et que je vous laisse redécouvrir. Bonsoir !