Foo Bar “de” Quux

Le genre de titre n’ayant rien à voir avec le contenu de l’article ! Tiens, combien de réponses sur foo bar quux dans Pico Search, le moteur interne de la NSC ? Je saurais ça un autre jour ; car je prépare cette note chez moi où je suis privé d’internet. Vous êtes au courant, non ? Voilà, oui, tout à fait : cette histoire interminable avec Free …

Au moment de poster : la réponse est : huit dont sept dans le bon contexte des variables dans une procédure. Et, pourtant, seulement en vingt-deuxième et vingt-troisième position sur 755 réponses dans Google (uniquement page France) …

Quid de ce lapsus d’un chanteur-programmeur, ne se prénommant pas Pascal, fourchant sur la chanson de Piaf en remplaçant un "foulard de soie" par ce foo bar de quux fort déstabilisant et ne pouvant faire rire que quelques lispiens (et pas lipsiens) ou autres unixiens de Berkeley piqués au C et cloîtrés dans un camembert du CMIRH ? Ce soir-là, le Forth n’avait pas été avec lui. Oui, bon, d’accord : j’arrête ! Tu parles d’un Prolog ; surtout pour un amateur de Logo. Okay, okay : je n’ai rien dit !

De cyber-café à Aix, Mordogan, Guy Môquet

Samedi (26.03), j’ai posté depuis le cyber-café dont je parlais le 19 mars dernier ; un samedi, anniversaire du 19 février, jour où ma Freebox tombait en panne et où je téléphonais pour demander son remplacement … Le cyber-café, donc, de la galerie marchande ayant une entrée 102, avenue de Saint Ouen et une autre, rue Championnet, en face du restaurant Sakanaya dont il est question dans mes "Carnets gastronomiques".

Il est surtout encombré de jeunes, bruyants, qui viennent jouer en réseau. Les sessions – sous Windows 2000 ou XP selon la machine -, sont réglées de manière à éviter certains déboires ; c’est à moi de demander si je désire travailler avec Microsoft office, par exemple. La session par défaut permet de jouer en ligne, en réseau (lorsque ça fonctionne) et de surfer. J’ai fouillé pour trouver WordPad ; j’avais eu plus de chance la semaine dernière.

Le cyber-café que je fréquentais à Aix-en-Provence pendant mes vacances estivales (Virtualis – 40, rue des Cordeliers), ne fonctionnait pas de la même manière ; mais il n’avait peut-être pas la même clientèle ; ceci étant dit, je me souviens que je n’avais pas pu brancher ma clés USB ni vider mon appareil photo numérique … A Aix, je payais, je crois, 3 € de l’heure (l’abonnement devait me donner droit à une réduction) ; les 2 € du V.D.R. Rezo Games (c’est son nom) ne me paraissent donc pas trop chers. Cela fait entre 12 et 14 Francs, non ?

En 2000, je payais un million de Livre Turque (Türk Lirasi) pour une heure à l’Internet Café de Mordogan (71 Kilomètres au sud d’Izmir) ; depuis, le court de la LT a changé. Si vous voulez calculer, disons que lorsque je retirais 25 millions en LT avec ma Carte Bancaire, ma banque me débitait de plus ou moins 305 FF (26 FF et des centimes de frais compris) …

J’écris ces lignes en songeant à ce photographe, Bruno, projetant d’effectuer un périple autour de la mer Noire (Karadeniz), un peu sur les traces du Kéraban le Têtu (inatçi Keraban) de Jules Verne. Ces pages ont un goût certain de récursivité, et j’en profite pour embrasser Annaelle ! Je pense mêmement à ce jeune-homme – m’ayant lui aussi contacté – désireux de se promener en mobylette autour d’Izmir !

Autour du 22 mars

Je sais, c’était voici plusieurs jours ; vous voulez réellement qu’on reparle de mon FAI ?

Le 22 mars, donc, ce n’était pas Cohn Bandit à Nanterre et le prélude à mai 68 ? "On" en reparlera en mai 2008, pas avant ? Désolé ! …

Je puis parler de Sartre tout de même ? A propos du catalogue pour une exposition organisée à la BNF ; avez-vous remarqué cette fameuse photographie truquée où une cigarette, un mégot a disparu de l’oeuvre réalisée par Lipnitzky voici quelques années, afin de complaire à une loi Evin sans se soucier des droits de l’artiste. Vous pouvez vérifier à la page 16 du Monde du 22 mars dernier.

Bientôt, on représentera Churchill et le Che sans leurs cigares respectifs, Simenon et Maigret sans leurs pipes, sans parler de De Gaulle, Serge Gainsbourg et, surtout, Humphrey Bogart et leurs brunes ou blondes. C’est à vous dégoûter d’arrêter de fumer.

J’en suis à ma troisième semaine sans déguster un de mes huit cigarillos quotidien ; mais je refuse de devenir un des ces … (censuré) condamnant le tabagisme. Molière (Dom Juan, acte 1, scène 1), où es-tu ?

A la page 28 du même numéro du quotidien, il est question du chanteur et guitariste John Fogerty, fondateur des Creedence Clearwater Revival avec leurs tubes des années 1967-72 : Suzie Q, Proud Mary, Bad Moon Rising, I Put a Spell on You et j’en passe. Fogerty était à Paris le 22 mars … Lui et les CCR, c’était aussi Who’ll Stop The Rain à Woodstock en 1969 … John Fogerty qui n’était pas un hippie, n’est pas devenu un yuppie comme tant d’autres dont l’auteur de Do It, Jerry Rubin ; pour ne pas parler de certains anciens de Mai 68 …

Du 22, avec cette annonce parue dans notre quotidien préféré du 24, passons à la disparition, le 19 mars de John DeLorean né à Detroit au début de janvier 1925, entré chez General Motors en 1956. GM lui doit la Pontiac GTO, cette voiture musclée culte aux Etats-Unis. Il quitte GM en 1973 et fonde sa propre marque. Nous le connaissons plus (en France) par la voiture futuriste des trois "Retour vers le futur" !

DeLorean (allez aussi visiter la page "retour à l’accueil").

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